C'est la saison REER !
Pour cotiser à votre REER, pour planifier votre retraite, pour une 2e opinion sur votre portefeuille de placements ou pour des conseils financiers adaptés selon vos objectifs, communiquez avec un conseiller de Finaplus. Vous avez jusqu'au 1er mars 2019 pour cotiser à votre REER pour l'année d'imposition 2018.
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Année après année, le même débat revient. Vaut-il mieux investir dans un régime enregistré d’épargne-retraite (REER) ou un compte d’épargne libre d’impôt (CELI)? Ce sont deux excellents abris fiscaux pour vos placements et l’un comme l’autre, ils ont leur place dans un plan financier bien ficelé. Voici certains facteurs à prendre en considération pour déterminer dans quel type de compte placer votre épargne. Régime enregistré d’épargne-retraite Les REER servent généralement à épargner en vue de la retraite. Vos cotisations donnent droit à une déduction fiscale et l’argent déposé fructifie à l’abri de l’impôt. Comme le revenu des placements, les cotisations sont imposées à leur retrait. En revanche, l’idée est que vous ne toucherez à ces fonds qu’après la retraite, au moment où votre revenu et votre taux d’imposition seront en principe inférieurs. Considérés comme un revenu, les retraits ont une incidence sur l’admissibilité aux prestations et aux crédits d’impôt fédéraux fondés sur le revenu, comme les prestations fiscales pour enfants et la Sécurité de la vieillesse. Une fois que vous retirez des sommes de votre REER, vous ne pouvez réutiliser cette portion de vos droits de cotisation, sauf dans le cas du Régime d’accession à la propriété ou du Régime d’encouragement à l’éducation permanente. Compte d’épargne libre d’impôt Le CELI est pratique pour épargner en vue de la retraite ou de besoins à court terme. Si les cotisations ne donnent pas droit à une déduction fiscale, les sommes placées, elles, fructifient à l’abri de l’impôt. Par ailleurs, les retraits ne sont pas imposables et n’influent pas sur votre droit aux prestations et aux crédits fiscaux fédéraux fondés sur le revenu. Comme les sommes retirées du CELI s’ajoutent aux droits de cotisation pour l’année suivante, il y a peu d’inconvénients à se servir de son actif pour effectuer des achats plus ou moins importants. Quel est le bon choix pour vous? Revenu bas Si votre taux marginal d’imposition est peu élevé (par exemple si vous êtes aux études ou en congé de maternité), le CELI peut s’avérer un instrument d’épargne plus avantageux que le REER. En effet, les économies d’impôt d’un REER sont alors moins attrayantes. Qui plus est, vous pourriez vous retrouver dans une fourchette d’imposition supérieure au moment d’effectuer des retraits. Revenu moyen Si vous êtes un contribuable à revenu moyen, il est possible qu’aucun des deux programmes ne soit nettement plus avantageux que l’autre. Une stratégie envisageable serait de cotiser maintenant à un CELI et d’accumuler vos droits de cotisation à un REER pour les utiliser plus tard, lorsque le taux marginal d’imposition sera plus élevé, afin de maximiser les avantages fiscaux. Revenu élevé Si votre taux d’imposition marginal est élevé, vous auriez peut-être intérêt à profiter des deux types de régimes. Le REER pourrait être plus avantageux si vous estimez que votre taux d’imposition aura baissé au moment où vous retirerez vos fonds. Vous profiterez dans ce cas d’une déduction d’impôt lorsque vous verserez votre cotisation et les sommes retirées seront imposées à un taux inférieur. Vous pouvez aussi verser le remboursement d’impôt reçu en contrepartie de la cotisation au REER dans votre CELI. Consultez votre conseiller Finaplus Le choix de cotiser à un CELI, à un REER ou aux deux dépend de vos besoins en matière d’épargne, de votre admissibilité aux prestations fondées sur le revenu et de votre situation financière actuelle et future. Votre conseiller peut vous aider à déterminer la stratégie de placement la plus fiscalement avantageuse compte tenu de vos objectifs. Source :
Manuvie, Solutions, https://repsource.manulife.com/ds005sole/public/common/documentPreview.jsp?itemCode=D133D6AA9D37 Pour consulter notre site internet en version anglaise, cliquez sur English au bas de la page ou cliquez ici.
La Banque du Canada maintient son taux directeur à 1,75%, toutefois il ne faudrait pas s'étonner de revoir des hausses d'ici la fin de l'année 2019.
En janvier, plusieurs consommateurs se retrouvent avec des cartes de crédit à rembourser. Voici quelques conseils pour redresser la situation :
1- Évitez toutes dépenses superflues pour ne pas augmenter le solde de votre carte inutilement 2- Remboursez plus que le minimum requis 3- Négociez un taux d’intérêt plus bas 4- Remboursez les cartes de crédit qui ont un taux d’intérêt le plus élevé 5- Transférez votre solde sur une carte à taux réduit 6- Demandez un prêt de consolidation Maintenant que vous avez un plan pour rembourser vos cartes de crédit, assurez-vous de ne pas vous retrouver dans la même situation l’an prochain. Faites un budget, planifiez vos dépenses annuelles et épargnez pour vos futures dépenses. CÉLI : le plafond annuel est maintenant à 6,000$. Depuis le 1er janvier 2019, les nouveaux droits de cotisation maximale sont de 63,500$.
Une nouvelle année signifie nouvelles résolutions. Nous souhaitons donc rappeler qu'il est important de définir ses propres objectifs pour l'année, que ce soit personnel, professionnel ou financier, il faut que ces objectifs soient réalisables et avoir une bonne idée comment les réaliser.
Bonne année à tous et bon succès! |
AuteurÉquipe de Finaplus Archives
Décembre 2022
CatEgories |