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Le RRI, pour qui, pour quoi?

4/17/2019

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Le régime de retraite individuel (RRI) est conçu sur mesure pour les propriétaires d’entreprise, ainsi que pour les travailleurs autonomes dont le revenu annuel moyen est généralement de plus de 100 000 $.

Le RRI est un régime…
  • mis en place pour une seule personne et financé par l’entreprise (déductible d’impôt)
  • à prestations déterminées dont le revenu de retraite correspond généralement à 2% de la moyenne des 3 meilleurs salaires annuels pour chaque année de service reconnu*
  • où l’épargne s’accumule à l’abri de l’impôt
  • qui peut être maximisé en y transférant le REER du participant
*Sujet à des maximums prescrits par l'Agence de revenu du Canada​
Le RRI est souvent mis en place lorsqu’une entreprise a réalisé d’importants bénéfices et souhaite éviter d’avoir à payer trop d’impôt. L'employeur peut alors décider de verser des cotisations dans son RRI, lesquelles constituent pour l’entreprise une dépense qui réduit son bénéfice et donc, son impôt. Les cotisations versées au régime par l'employeur ne constituent pas un bénéfice imposable pour le participant.
​
En d’autres termes, le propriétaire de l’entreprise se verse des cotisations RRI afin d’épargner pour sa retraite et de faire économiser de l’impôt à son entreprise.
Quels sont les avantages du RRI?
Puisque dans un tel régime de retraite, le participant et l’employeur sont très souvent la même personne, le RRI offre de nombreux avantages, tant du point de vue du participant que de celui de l’employeur.
Les avantages pour le participant
  • Régime financé par l’entreprise
  • Permet d’épargner plus pour la retraite qu’avec un REER
  • Reconnaît les années de service passées, augmentant ainsi la rente de retraite
  • Personnalisation possible : indexation de la rente, retraite anticipée sans réduction et prestation de raccordement
  • L'actif du régime est accumulé à l’abri de l’impôt avant la retraite; possibilité de continuer à accumuler l’actif à l’abri de l’impôt après la retraite si la rente est payée à même le RRI
  • Les actifs dans un RRI sont insaisissables par les créanciers
  • Aucunes charges sociales sur les cotisations pour l'employé, contrairement au REER.
Les avantages pour l’employeur
  • Économie d’impôt importante: les cotisations diminuent les revenus de l’entreprise
  • L’actif d'un RRI abaisse l’avoir des actionnaires, ce qui facilite la vente de l’entreprise
Source : Article rédigé par IA Groupe Financier.
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7 conseils pour économiser

4/17/2019

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L’argent vous brûle les doigts? Voyez 7 trucs pour épargner et reprendre le contrôle de votre portefeuille.

Êtes-vous dépensier?
  • Vous n’arrivez jamais à mettre de l’argent de côté pour votre retraite ou pour vos projets spéciaux.
  • Le solde de votre compte bancaire est à 0, aussitôt que votre paye est déposée.
  • Épargne? Quelle épargne?
Si vous vous reconnaissez dans ces 3 affirmations, c’est qu’il est peut-être temps d’user de stratégies (sans douleur) pour vous aider à mettre de l’argent de côté.

1. Faites-en une priorité
Pour épargner, il faut un peu plus que de la motivation. Il faut passer à l’action!
Comment? En optant pour des prélèvements automatiques. Chaque mois, un montant sera transféré à votre compte distinct dédié à votre épargne.
Mieux encore, investissez dans un REER et dans un CELI qui sont avantageux du point de vue fiscal.
Cette épargne homéopathique vous permettra d’économiser sans effort et vous vous habituerez à avoir moins d’argent à dépenser dans votre compte courant.

2. Faites un budget
Exercice à faire en solo ou en couple, le budget détaillé a aussi ses bons côtés, dont celui de vous faire réaliser où va votre argent.
Par exemple, les dépenses d’épicerie sont pour plusieurs une part non négligeable des dépenses annuelles. Le fait de voir le montant que vous payez chaque mois peut vous donner un choc bénéfique. Les circulaires deviendront plus intéressantes…
Respectez les priorités que vous vous êtes fixées et dépensez selon vos moyens.

3. Coupez dans le superflu
Les petites économies finissent par être payantes jour après jour.
Il y a les classiques, comme apporter son café de la maison dans un thermos plutôt que se gâter à la brûlerie du coin.
Il y a aussi les options écologiques, comme donner de son temps en cadeau plutôt qu’un objet qui finira au placard.
Usez de votre budget pour couper là où vous dépensez trop et faites preuve d’imagination.
Échangez une visite au centre commercial par une promenade au parc, allez à la bibliothèque au lieu de la librairie ou encore faites vos lunchs plutôt que d’aller au resto.

4. En avez-vous pour votre argent?
Les taux d’intérêt des cartes de crédit, les forfaits de services téléphoniques, de télévision et d’Internet, les frais bancaires, les assurances auto et habitation…
Parfois, cela vaut la peine de consacrer 1 heure par année de votre temps à réviser vos besoins et à magasiner chez plusieurs fournisseurs. Votre motivation? Économiser toute l’année!

5. Dépensez mieux aujourd’hui pour dépenser encore dans le futur
Pour devenir le parfait économe, il faut changer son rapport à l’argent. Au lieu de le voir comme une façon d’acheter ce que tout le monde vous suggère d’acheter, l’argent doit être vu comme un moyen d’atteindre vos objectifs de vie à long terme.
Résistez à la frénésie de la consommation, à la pression des médias et aux voisins gonflables. Gardez le cap sur la réalisation de vos rêves!

6. Augmentez vos revenus
Pour augmenter votre salaire, il n’y a pas de recette magique! Soit que cette hausse provient d’un boni (bonus), d’une promotion ou d’un changement d’emploi avec une offre salariale plus alléchante.
Pour mousser votre épargne, d’autres sources de revenus peuvent s’ajouter, comme vendre des biens usagés sur les sites de petites annonces ou vendre votre 2e voiture, lorsque c’est possible.
Une vente de garage cet été, ça vous dit? Vous pourriez accumuler beaucoup en une journée!
Chose certaine, ne comptez pas trop sur l’héritage d’une mystérieuse tante dont vous ignoriez l’existence pour augmenter vos revenus.

7. Amusez-vous un peu
Pour garder la motivation à épargner, il ne faut pas non plus être dans un état de privation complet.
Dégagez de votre budget un montant qui sera consacré à vos loisirs et à vos plaisirs quotidiens.

À l’attaque!
Consultez votre conseiller. Il vous aidera à choisir le régime d’épargne et les placements adéquats pour faire fructifier vos économies.

Note : Cet article vous est présenté à titre informatif seulement. En aucun cas, il ne doit être considéré comme un conseil financier ou une opinion juridique ou fiscale. Pour des conseils selon votre situation personnelle, parlez-en à votre conseiller.
​Source : Article rédigé par SSQ Assurances.
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4 mythes sur l'assurance salaire

4/17/2019

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Mal-aimée parmi les produits d’assurance et négligée par plusieurs travailleurs, l’assurance salaire est pourtant essentielle si vous êtes invalide et qu’aucun revenu ne vous est versé.

L’assurance salaire, aussi appelée assurance invalidité, est une assurance que vous pouvez souscrire pour vous garantir un revenu si vous devenez incapable de travailler à cause d’une maladie ou d’une blessure.

Il existe 2 sortes d’assurance salaire :
  • Collective : proposée à tous les membres d’un groupe, par exemple les employés d’une entreprise.
  • Individuelle : achetée par un individu qui ne peut bénéficier d’une assurance collective, par exemple un travailleur autonome.

L’assurance salaire protège votre capacité à faire face à vos obligations pendant une certaine période de temps :
  • Courte durée : Cette assurance est valide pour une période précise, habituellement un nombre de semaines prédéterminé.
  • Longue durée : Les prestations sont versées sur une période plus longue qui peut atteindre un nombre d’années et, dans certains cas, jusqu’à ce que l’assuré parvienne à l’âge de 65 ans.

1. L’invalidité, c’est pour les autres!
L’invalidité n’est pas que le résultat d’une blessure corporelle : 75 % des cas sont liés à la maladie. Vous travaillez dans un bureau plutôt que sur un chantier de construction? Vous êtes aussi à risque.
Les troubles de santé mentale, par exemple la dépression ou l’anxiété, sont aussi des causes d’invalidité importantes.
Les maladies chroniques — cancer, diabète, maladie cardiovasculaire, hypertension artérielle — rendent les travailleurs inaptes au travail pour des périodes plus ou moins longues. Et nul n’est à l’abri de développer une telle maladie.
Au Canada, 1 travailleur sur 3 âgé de 30 à 64 ans vivra une période d’invalidité au cours de sa carrière. C’est un pensez-y-bien!

2. J’ai déjà une assurance salaire avec mon régime collectif
Vous avez de la chance si vous bénéficiez d’un programme d’assurance salaire à même le régime collectif offert par votre employeur. Pour plus de détails, lisez votre contrat attentivement.
Saviez-vous que l’assurance invalidité prévue au contrat n’est peut-être pas suffisante?
  • Plusieurs régimes prévoient un maximum de prestations d’assurance. À terme, vous devrez subvenir à vos besoins par vos propres moyens.
  • La plupart des contrats d’assurance collective couvrent un pourcentage du salaire; de plus, le montant versé prévu par un tel contrat pourrait être imposable.
Si la couverture qui vous est offerte ne vous semble pas suffisante, vous pouvez :
  • Souscrire une assurance d’appoint disponible dans le plan offert par votre employeur, le cas échéant.
  • Souscrire une assurance supplémentaire personnelle. Différentes options s’offrent à vous.

3. L’assurance salaire coûte cher?
L’assurance salaire a un coût, mais si vous en avez besoin, elle vous rapportera gros. Faites le calcul.
Et que dire de la tranquillité d’esprit qu’elle vous procurera : ça n’a pas de prix!

4. J’ai un fonds d’urgence
Bien sûr, comme tout travailleur prévoyant — surtout si vous êtes travailleur autonome! — vous mettez de l’argent de côté « au cas où »…
Mais saviez-vous qu’un fonds d’urgence doit comporter des économies équivalant à 3 mois de salaire? Et bien qu’il s’agisse d’économies substantielles, elles pourraient ne pas être suffisantes dans le cas d’une invalidité à long terme.
Mieux vaut souscrire une assurance invalidité personnelle. Vous bénéficierez de prestations fixes appréciables et habituellement libres d’impôt dans ce cas-ci, et vous serez en mesure de faire face à vos obligations.

Discutez-en avec votre conseiller
Vous êtes incertain quant à la nécessité de souscrire une assurance salaire? Consultez votre conseiller.
Il saura vous présenter différentes options qui conviendront à votre situation, ce qui vous permettra de dormir sur vos 2 oreilles!

Note : Cet article vous est présenté à titre informatif seulement. En aucun cas, il ne doit être considéré comme un conseil financier ou une opinion juridique ou fiscale. Pour des conseils selon votre situation personnelle, parlez-en à votre conseiller.
Source : Article rédigé par SSQ Assurances.
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5 mythes sur les fonds de placement

4/12/2019

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Vous perdez votre latin quand vient le temps de comprendre les rudiments des fonds de placement? Voici 5 mythes pour mieux vous convaincre de les choisir pour vos placements.

Qu’est-ce qu’un fonds de placement?
Un fonds de placement est composé de sommes mises en commun par plusieurs épargnants afin de créer un fonds qui investit dans différents types de placements. Les fonds communs de placement (aussi appelés fonds mutuels) et les fonds distincts sont des types de fonds de placement.
Ces placements sont choisis par une équipe de gestionnaires dans le but de générer le meilleur rendement possible.
Tous les jours, la valeur des parts des fonds varie selon les investissements faits par le fonds.
Cela veut dire qu’on ne peut pas savoir d’avance quelle sera la valeur des placements.

Vous souhaitez en savoir plus?
Voici quelques mythes déboulonnés.

1. Les fonds de placement, c’est du pareil au même
Il y a de nombreux types de fonds de placement, avec différents types de gestion :
  • Fonds de revenu
  • Fonds équilibrés
  • Fonds d’actions
  • Fonds spécialisés
  • Fonds indiciels
Avec des styles de gestion aussi variés, vous pourriez participer à la croissance des pays étrangers, mais sans effectuer tout un tas de recherches sur les pays prometteurs. Un fonds de placement international fera la recherche pour vous et vous permettra d’investir dans plusieurs marchés étrangers en limitant le risque.
En diversifiant les placements, les fonds de placement diminuent le risque de votre portefeuille tout en maximisant leur potentiel de rendement.

2. Les fonds de placement sont trop risqués
Peu importe leur tolérance au risque, tous les investisseurs trouvent leur compte dans l’éventail des fonds de placement disponibles.
Par exemple, vous pourriez choisir un fonds de placement qui investit seulement dans des obligations. Vous obtiendrez un rendement raisonnable et constant avec très peu de risque.
L’avantage de ce type de fonds, c’est qu’il offre différentes obligations dont l’échéance varie.
Avec un fonds de placement, la diversification des placements diminue le risque. C’est le principe de ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier qui s’applique.

3. Les fonds de placement, c’est compliqué
Peu de gens ont le temps et les connaissances nécessaires pour suivre les marchés financiers et les rendements des actions et des obligations.
Quel est le meilleur moment pour les acheter? Et pour les vendre? Quelles actions ont le meilleur potentiel de rendement d’ici votre retraite? Votre placement est-il trop risqué?
Heureusement, les fonds de placement délèguent ces difficiles décisions à des gestionnaires chevronnés dont c’est la spécialité.
En optant pour un fonds portefeuille, aussi appelé fonds équilibré, un gestionnaire peut même se charger de répartir vos placements entre des actions et des obligations.
C’est une solution clés en main très rassurante et simple.
Votre conseiller est là pour vous accompagner dans ces choix.

4. Les fonds de placement, ça coûte cher
Lorsque l’on investit dans un fonds de placement, il faut payer des frais de gestion.
Ces frais servent à rémunérer les gestionnaires du fonds qui choisissent les placements à la suite d’analyses poussées et en font le suivi quotidien.
En échange de ces frais, les gestionnaires effectuent les recherches nécessaires et constituent une équipe hautement qualifiée qui vous rapportera un rendement que vous n’auriez peut-être pas été capable de générer vous-même.
Les fonds distincts peuvent aussi inclure des frais de garantie qui protègent une partie de votre capital pour obtenir la tranquillité d’esprit.

5. Les fonds de placement, ça ne rapporte pas assez de rendement
Les fonds de placement ont peut-être des potentiels de rendements moins élevés que certaines autres options comme les actions, mais le risque est beaucoup moins élevé grâce à leur diversification et les gestionnaires qui les surveillent. Il est important de bien comparer et saisir la différence entre le risque et le rendement potentiel.
Gardez en tête que le potentiel de rendement des fonds de placement se déploie à long terme et qu’il ne faut pas paniquer à la moindre fluctuation des rendements à court terme.
Sachez que vous avez toujours la possibilité de choisir des fonds de placement plus à risque et d'autres plus sécuritaires en lien avec votre profil d'investisseur.

Vous souhaitez investir dans un fonds de placement?
La meilleure personne pour discuter de fonds de placement demeure votre conseiller.
Il vous guidera vers celui qui correspond à votre profil d’investisseur et à vos objectifs d’épargne.

Note : Cet article vous est présenté à titre informatif seulement. En aucun cas, il ne doit être considéré comme un conseil financier ou une opinion juridique ou fiscale. Pour des conseils selon votre situation personnelle, parlez-en à votre conseiller.
Source : Article rédigé par SSQ Assurances
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Pour tout savoir sur les bénéficiaires d'une assurance vie

4/12/2019

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Désigner un bénéficiaire lors de la signature de votre contrat d’assurance vie peut sembler simple aux premiers abords. Pour en saisir toutes les subtilités et faire un choix éclairé, voici quelques conseils.

Qu’est-ce qu’un bénéficiaire?
​Un bénéficiaire est la personne qui va recevoir le montant d’assurance vie à la suite du décès de l’assuré.
Cette personne pourrait ne pas exister au moment de la signature du contrat d’assurance vie, mais lors de la réclamation. Un exemple? Vous pourriez indiquer que les bénéficiaires sont vos enfants nés et à naître.
Le bénéficiaire peut aussi être une société par actions (aussi appelée compagnie ou personne morale) ou un organisme à but non lucratif.

Et le bénéficiaire subrogé?
Aussi appelé le bénéficiaire subsidiaire, le bénéficiaire subrogé est un peu comme un plan B si le montant d’assurance ne peut pas être versé à vos « premiers » bénéficiaires (ou bénéficiaires primaires).
S’il n’y a aucun bénéficiaire subrogé, le montant d’assurance vie sera remis à la succession du titulaire ou propriétaire de la police.

Les différences entre un bénéficiaire révocable et irrévocable
Quand un bénéficiaire est révocable, cela signifie qu’à tout moment, vous pouvez changer d’idée et le remplacer. Vous n’avez pas à obtenir son accord pour retirer son nom du contrat d’assurance vie.
À l’inverse, lorsqu’il est irrévocable vous ne pouvez pas l’enlever ou le modifier, à moins d’obtenir son consentement écrit. Il est important de noter qu’un enfant de moins de 18 ans ou un majeur inapte ne peut pas donner son consentement à un tel changement.
En général, un bénéficiaire est révocable, à moins que vous cochiez la case pour qu’il soit irrévocable.

Une règle différente au Québec
Si vous désignez votre conjoint avec qui vous êtes marié ou uni civilement (à ne pas confondre avec la notion de « conjoint de fait ») comme bénéficiaire, il est automatiquement irrévocable, à moins de cocher la case « révocable », ou d’écrire « révocable » ou « à titre révocable » dans la désignation.

Certains avantages de choisir vos bénéficiaires
En désignant un ou des bénéficiaires à votre contrat d’assurance vie, vous évitez que le montant d’assurance soit remis à votre succession.
Dans un tel cas, le montant d’assurance vie pourrait être utilisé pour payer vos dettes et les créances de la succession. Le reste (si c’est le cas) serait alors versé à vos proches.
Avec des indications très claires sur les bénéficiaires dans le contrat d’assurance, le règlement est plus rapide et vous avez la tranquillité que la prestation de décès sera versée selon vos volontés.

6 conseils quand vient le temps de nommer vos bénéficiaires
  1. Nommez le nom de la personne que vous souhaitez comme bénéficiaire ainsi que le lien qui vous unit. Vous éviterez les ambiguïtés.
  2. Inscrivez « enfants nés et à naître » ou « petits-enfants nés et à naître » si vos bénéficiaires sont vos enfants ou vos petits-enfants.
  3. Personne n’est à l’abri de changer d’idée : nommez vos bénéficiaires de façon révocable.
  4. Si vous avez plus d’un bénéficiaire, partagez le montant d’assurance en pourcentage. Si vous ne le faites pas, le montant d’assurance sera réparti en parts égales entre les bénéficiaires.
  5. Désignez un autre bénéficiaire après un divorce ou dans le cas où votre bénéficiaire est mort avant vous.
  6. Au Québec : en général, le tuteur légal (généralement le parent survivant) s’occupe de l’administration des biens du mineur.
    Ailleurs au Canada : Si le bénéficiaire est mineur, n’oubliez pas de prévoir la nomination d’un fiduciaire pour administrer la prestation de décès jusqu’à ce que votre bénéficiaire mineur soit majeur.

Demandez de l’aide de votre conseiller
Si vous avez des doutes concernant la désignation de bénéficiaires pour votre assurance vie, parlez-en à votre conseiller.
Il vous aidera à prendre une décision éclairée ou encore à modifier votre bénéficiaire si vous changez d’idée.

Note : Cet article vous est présenté à titre informatif seulement. En aucun cas, il ne doit être considéré comme un conseil financier ou une opinion juridique ou fiscale. Pour des conseils selon votre situation personnelle, parlez-en à votre conseiller.
Source : Article rédigé par SSQ Assurances

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Le CÉLI : un outil d'épargne fiscalement avantageux

4/12/2019

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Un compte d’épargne libre d’impôt (CELI) vous permet de faire fructifier votre épargne et d’avoir accès à votre argent en franchise d’impôt!

Limites d’âge
  • Minimum de 18 ans
  • Aucun âge maximal

Limites de cotisation
  • La limite de cotisation pour 2019 est de 6 000 $.
  • Les droits de cotisation inutilisés peuvent être reportés indéfiniment.
  • Les cotisations ne peuvent pas être déduites.
  • La pénalité si vous dépassez le montant maximal de cotisation est de 1 % par mois sur le montant excédentaire.

Retraits
  • Vous pouvez retirer de l’argent de votre CELI en tout temps; vos retraits sont toujours exempts d’impôt.
  • Le montant que vous retirez est ajouté à vos droits de cotisations pour l’année suivante.
  • Les retraits n’ont aucune incidence sur votre admissibilité aux prestations gouvernementales ajustées selon le revenu, comme la Sécurité de la vieillesse, le Supplément de revenu garanti, l’Allocation canadienne pour enfants, le crédit pour la TPS, etc.

Placements admissibles auprès de Finaplus
  • Compte bancaire à intérêts élevés
  • Fonds de placement
  • Certificat de placement garanti (CPG)
  • Obligations d'épargne
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4 conseils pour bien planifier votre retraite

4/12/2019

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La retraite vous semble une étape lointaine? Soyez futé comme la tortue et sachez partir à point dans sa planification.
De nombreuses personnes rêvent confusément d’une retraite sous le soleil, passée dans un chalet au bord d’un lac, ou encore parsemée de voyages. Si l’heure du repos vous semble bien loin pour l’instant, ces plans pourraient demeurer mirages si vous n’agissez pas dès maintenant.
Il est dur de se motiver à épargner quand on ne sait pas trop de quel montant on aura besoin et que la tâche semble insurmontable. Une seule solution : prendre le taureau par les cornes!
Voici quelques trucs pour réaliser vos rêves.

1. Clarifiez votre vision
Avant d’estimer la somme d’argent dont vous aurez besoin à la retraite, demandez-vous d’abord ce que vous voudrez en faire.
L’arrivée de la retraite apportera tout un lot de changements potentiels à votre mode de vie. Resterez-vous dans votre maison actuelle ou voudrez-vous déménager? Que ferez-vous de toutes vos journées?
Parfois, les futurs retraités négligent de faire un examen de conscience réaliste et de se poser les questions suivantes :
  • Quels seront réellement mes intérêts et mes loisirs?
  • Quel sera mon niveau d’énergie pour accomplir certaines tâches?
  • Qu’est-ce qui me motivera au quotidien?
  • Sera-t-il réaliste d’habiter à la campagne? Le condo au centre-ville répondra-t-il encore à mes besoins quand je n’aurai plus à subir l’heure de pointe?
Soyez réaliste et honnête par rapport à vos attentes et à votre personnalité. En matière de retraite, les mêmes critères ne conviennent pas à tous.

2. Tenez compte des impondérables
La retraite peut durer longtemps, surtout en raison de l’espérance de vie en hausse constante.
Elle peut se découper en 3 phases :
1. La phase active
Vous serez en mesure de conserver votre domicile familial et de prendre part à des activités variées qui entraîneront des dépenses.
2. La phase de ralentissement
Votre état de santé dictera davantage votre niveau d’activités et de sorties et vous aurez peut-être à déménager.
3. La phase avancée
Vos activités seront plus limitées et vous aurez possiblement besoin d’aide au quotidien.
Ces phases entraînent des dépenses différentes, mais qui peuvent être importantes.
Renseignez-vous, entre autres, sur les coûts d’un loyer en résidences pour personnes âgées, qui varient énormément selon les options que vous envisagez et votre degré d’autonomie.
N’oubliez pas que vous devrez peut-être faire face à certaines dépenses imprévues, comme une maladie grave ou une perte d’autonomie.
Si vous avez l’intention de donner un coup de pouce financier à vos enfants ou à vos petits-enfants, c’est aussi le temps de le planifier dans vos calculs.

3. Élaborez votre budget retraite
Une fois que vous aurez une vision plus claire de ce que vous souhaitez faire à la retraite, vous pourrez estimer le budget dont vous aurez besoin.
Une croyance populaire veut que l’objectif à atteindre pour la retraite soit d’être en mesure de vivre avec 70 % du revenu de la vie active.
Bien sûr, cet objectif variera selon vos attentes et vos projets.
Cette étape nécessite des recherches et des questionnements qui en valent la peine, comme c’est le cas pour tout exercice budgétaire.

4.  Vérifiez auprès de votre conseiller
Compte tenu de vos épargnes actuelles et de celles que vous comptez faire régulièrement, et des régimes publics et privés dont vous bénéficiez, vous pouvez évaluer de façon assez précise les sommes dont vous disposerez à la retraite.
Tirez-vous le plein potentiel de vos placements? Atteindrez-vous vos objectifs?
Divers calculateurs peuvent vous aider, comme celui du gouvernement du Canada. Votre conseiller peut aussi vous accompagner.
Si l’écart est grand entre vos économies projetées et vos rêves de retraite, des changements s’imposent : soit vous tentez d’économiser davantage, soit vous revoyez vos attentes ou l’âge auquel vous vous retirerez du marché du travail.
La retraite peut sembler bien loin, mais elle durera peut-être plus de 20 ans… Vous vous féliciterez de vous être préparé pour en profiter au maximum sans inquiétudes financières!

Note : Cet article vous est présenté à titre informatif seulement. En aucun cas, il ne doit être considéré comme un conseil financier ou une opinion juridique ou fiscale. Pour des conseils selon votre situation personnelle, parlez-en à votre conseiller.
Source : Article rédigé par SSQ Assurances

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Mariage ou divorce : pensez à réviser votre assurance vie

4/12/2019

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Le mariage et le divorce sont des événements marquants. Et en plus de vous remuer, ils ont des effets sur votre police d’assurance vie. Pour que les personnes que vous chérissez bénéficient de la prestation prévue à votre décès, voyez-y.

Vous convolez en justes noces?

Que vous viviez au Québec ou dans le reste du Canada, révisez votre police d’assurance vie avant de prononcer vos vœux.
Assurez-vous que le ou la bénéficiaire est vraiment la personne que vous souhaitez, en l’occurrence votre futur époux ou votre future épouse. Procédez à une mise à jour, au besoin.
Renseignez-vous sur la désignation révocable ou irrévocable de votre bénéficiaire.
Demandez à votre conjoint ou à votre conjointe de réviser aussi sa police d’assurance vie. Démarrez votre vie à deux du bon pied.

Vous levez l’ancre?
En cas de divorce ou de séparation, des modifications à la désignation de votre bénéficiaire sont également à considérer. On observe toutefois certaines nuances quant à la réglementation des bénéficiaires dans les différentes provinces du Canada, car le prononcé du jugement de divorce ne rend pas nécessairement caduque la désignation de bénéficiaire.
Vous devez donc supprimer le nom de votre ex-conjoint ou de votre ex-conjointe à titre de bénéficiaire si vous ne souhaitez pas qu’il ou elle reçoive la prestation de décès. Si vous ne le faites pas, monsieur ou madame empochera la somme prévue au détriment d’un autre bénéficiaire – un nouveau partenaire ou vos enfants, par exemple.
Attention : si votre ex-conjoint ou votre ex-conjointe était le bénéficiaire irrévocable de votre assurance vie, vous aurez besoin de son consentement pour retirer son nom en tant que bénéficiaire, ou pour apporter tout changement à votre police.
Pour vous éviter des soucis, renseignez-vous auprès de votre compagnie d’assurance avant de contracter une assurance vie.
Prévoyez toutes les situations, ne sait-on jamais!

Source : Article rédigé par SSQ Assurances
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Le REER après 71 ans

4/12/2019

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Vous voilà à l’aube de vos 71 ans et sur le point de convertir vos REER… Voici quelques stratégies pour planifier l’après-REER et votre retraite.

Le 31 décembre de l’année où vous aurez 71 ans est la date limite à laquelle vous pouvez cotiser à vos REER.

Après cette date, 5 options s’offrent à vous :
  • Retirer tous vos REER
  • Cotiser aux REER de votre conjoint âgé de moins de 71 ans
  • Transférer vos REER dans un FERR
  • Utiliser les fonds pour acheter une rente
  • Combiner le FERR et la rente

Si vous retirez la totalité de vos REER
Les montants accumulés dans votre REER ne sont pas imposés tant que vous ne les retirez pas.
Dès que vous les retirez, ils sont considérés comme un revenu. Vous devez alors payer de l’impôt à votre prochaine déclaration de revenus.

Si vous cotisez aux REER de votre conjoint
En cotisant aux REER de votre conjoint âgé de moins de 71 ans, vous réduisez votre revenu imposable et vous fractionnez les revenus à la retraite. À titre d’exemple, 2 revenus de 30 000 $ sont moins imposables qu’un seul revenu de 60 000 $.
Attention toutefois de ne pas dépasser le maximum déductible de votre REER.
Les sommes que vous aurez investies dans le REER de votre conjoint lui appartiennent. Par conséquent, c’est ce dernier qui va payer de l’impôt quand il va retirer ses REER.  

Si vous transférez vos REER dans un FERR
Le FERR est la façon la plus simple et la plus flexible pour transférer vos REER et obtenir un revenu de retraite.
Lorsque vous ouvrez un FERR, les sommes sont investies dans des fonds distincts ou dans des comptes à intérêt garanti (CIG) et continuent à obtenir du rendement. Ce rendement est à l’abri de l’impôt.
Différentes options s’offrent à vous pour faire un retrait de votre FERR :
  • Revenu minimum
  • Revenu fixe
  • Revenu nivelé qui sera étalé sur une période choisie
Vous devrez toutefois payer de l’impôt chaque fois que vous retirez de l’argent de votre FERR.

Si vous achetez une rente
La rente est la solution parfaite pour les investisseurs qui n’aiment pas les mauvaises surprises.
Vous achetez une rente à une compagnie d’assurance. En échange, vous recevez une rente dont vous connaissez déjà le montant. Celui-ci ne fluctue jamais selon le marché et il est garanti.
En contrepartie, vous ne pouvez plus changer les clauses du contrat entre vous et la compagnie d’assurance. On peut donc trouver que la rente manque de souplesse face aux imprévus financiers de la vie.

Si vous optez pour un FERR et une rente
En combinant le FERR et une rente, vous avez le meilleur des 2 mondes. Alors que la rente vous protège des fluctuations des marchés financiers et vous apporte toute la sécurité financière pour votre retraite, le FERR vous offre la souplesse de retirer des montants en cas d’imprévus, tout en vous faisant profiter des hausses de marché.

Une stratégie grâce à votre conseiller
Peu importe ce que vous envisagez de faire avec vos REER, l’idéal est d’élaborer une stratégie avec votre conseiller.
Il saura vous guider vers la meilleure solution pour que votre retraite soit à la hauteur de vos attentes et que toutes ces années passées à cotiser à vos REER soient payantes pour vous.


Note : Cet article vous est présenté à titre informatif seulement. En aucun cas, il ne doit être considéré comme un conseil financier ou une opinion juridique ou fiscale. Pour des conseils selon votre situation personnelle, parlez-en à votre conseiller.
Source : Article rédigé par SSQ Assurances

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La diversification

4/12/2019

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Apprenez, en termes faciles à comprendre, en quoi consiste la diversification et pourquoi elle est importante dans votre stratégie de placement.
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