Pour réduire le stress financier lié à une maladie grave

Au Québec, on constate de nombreux patients qui sont aux prises d’une maladie grave, telle que le cancer, et dont les médicaments leur permettant d’obtenir une rémission ou de prolonger leur espérance de vie ne sont pas accessibles avec la Régie d’assurance maladie du Québec (RAMQ). Ainsi, la volonté de vouloir guérir peut demander des ressources financières faramineuses pour obtenir des médicaments qui ne sont pas remboursés par le gouvernement. Voici un court vidéo et un article qui démontre la malheureuse situation de monsieur Garneau ainsi que le fonctionnement du système de santé du Québec :

« TVA Nouvelles a aussi rencontré un patient, monsieur Garneau qui a un lymphome, un cancer diagnostiqué depuis 2007. Il se bat depuis ce temps pour faire admettre le médicament qui pourrait le soulager mais, encore une fois, ce précieux médicament a été laissé à l’index par l’INESSS. »

Vidéo : http://tvanouvelles.ca/video/en-vedette/les-dernieres-nouvelles/8805187001/coalition-priorite-cancer-demande-plus-dargent-pour-les-remboursements-de-medicaments-12h/2759111632001

Article : http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/national/archives/2013/10/20131021-143032.html

Toutefois, c’est dans des situations comme celles-ci que l’on s’aperçoit de l’importance d’une assurance maladies graves. Si vous êtes diagnostiqués d’une maladie grave, une assurance peut notamment vous permettre de payer des services de santé, des médicaments particuliers, des suppléments et des soins à domicile qui ne sont pas couverts par votre régime gouvernemental d’assurance-maladie. Ainsi, vous n’avez plus à vous soucier de vos finances et pouvez vous concentrer sur votre rétablissement. Nous avons des solutions complètes qui vous permettront de réduire votre stress financier face au diagnostic d’une maladie grave.

Voici quelques statistiques à considérer :

• On estime qu’il y a eu 177 800 nouveaux cas de cancer au Canada en 2011. Environ un Canadien sur deux sera atteint de cancer; trois sur quatre y survivra.
• Chaque année, 70 000 Canadiens sont victimes d’une crise cardiaque.
• Chaque année, 50 000 Canadiens sont victimes d’un accident vasculaire cérébral.
• Chaque année, plus de 13 000 Canadiens subissent une intervention chirurgicale pour remplacer des valvules de l’aorte.
• Neuf personnes sur dix (90 %) au Canada affichent au moins un facteur de risque associé aux maladies cardiovasculaires.

1 Source : Société canadienne du cancer, 2011
2 Source : Fondation des maladies du cœur du Canada, 2012
3 Source : Fondation des maladies du cœur du Canada, 2012
4 Source : Fondation des maladies du coeur, 2007
5 Source : Suivi des maladies du cœur et des accidents vasculaires cérébraux. Publié en juin 2009